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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/199
Titre: Contribution à l'étude de l'anoestrus post-partum chez la vache laitiere
Auteur(s): Souames, Samir
Kaidi, Rachid (Dir.)
Mots-clés: Anestrus
Puerpéralité
Vaches laitières
Date de publication: 12-jui-2003
Editeur: Ecole Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: M4.22 001.00
Résumé: L'anoestrus post-partum doit être maitrisé pour atteindre l'objectif de production d'un veau par vache et par an. Lors de l'étude des différentes réponses à partir d'un questionnaire distribué à 160 vétérinaires praticiens, il est apparu que l'anoestrus post-partum est beaucoup plus fréquent dans les élevages laitiers et surtout chez les vaches pluripares, conduites en stabulation entravée. Les saisons les plus défavorables étant l'été (35%) et l'hiver (13%). De nombreux vétérinaires (45%) raffinent leur diagnostic en se basant sur l'anamnèse et l'exploration rectale, par la mise en évidence d'ovaires lisses et de corps jaunes persistants. L'impact de l'alimentation sur les anoestrus post-partum semble être pris en considération par l'ensemble des vétérinaires sollicités dans cette enquête (83,75%) mais l'importance de la glycémie et de ses variabilités pendant la période post-partum, ainsi que les indicateurs cliniques de l'hypoglycémie sont peu maitrisés. Quant à la démarche thérapeutique des anoestrus post-partum, les prostaglandines prennent une place considérable dans les traitements. Au sein de la station ITELV de Baba-Ali, une étude a été menée sur un effectif de 37 vaches laitières. Les dosages de progestérone dans le sang ont révélé que 49% de vaches sont en anoestrus vrai et 51% en sub-oestrus (chaleurs silencieuses). Une forte proportion de vaches non cyclées a été enregistrée pendant les vêlages de printemps et l'hiver. La parité, liée à l'âge, n'influe pas sur la cyclicité des vaches. Le bilan énergétique au vêlage (J0) et au pic de lactation (J60) est positif pour les vaches cyclées et non cyclées, cela explique un état corporel constant entre ces deux périodes. La mauvaise production laitière est la résultante d'une mauvaise conduite alimentaire et la non pratique de système de rationnement des vaches selon leurs stades physiologiques. En finalité, les différents schémas thérapeutiques ont été comparés chez 58 vaches laitières en anoestrus post-partum. A l'issue de dosages de progestérone dans le sang et de la palpation transrectale des ovaires, le taux d'erreur d'interprétation révélé est de 28,44%. Le traitement par les progestagènes (spirale vaginale, implant sous-cutané) révélé un taux d'oestrus de 92,30% chez les vaches cyclées contre un taux de 76,66% chez les vaches non cyclée. Sur les 15 vaches traitées par la prostaglandine (LUPRUSTIOL), seulement 46,66% des vaches ont été vues en chaleurs. L'absence de manifestations oestrales chez les autres vaches serait due à un mauvais diagnostic d'un corps jaune à l'examen transrectal.
Description: 198 f.: ill; 30 cm.-Bibliogr. f. 164-194; Annexes f. 195-198
URI/URL: http://localhost:8080/jspui/handle/123456789/199
Collection(s) :Mémoires de Magistère 2003

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