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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2156
Titre: La reproduction artificielle chez la carpe royale et le poisson chat africain
Auteur(s): Achiche, Mohammed
Azzouz, Yassine
Halalib, Mehdi,
Mimoune, Nora(Dir)
Mots-clés: Clarias gariepinus
GnRH
Techniques artificielles de la reproduction
Date de publication: 28-jui-2021
Editeur: École Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: P4.22156.00;
Résumé: L’objectif de ce travail était la mise en place d’un protocole expérimental concernant la reproduction artificielle chez deux espèces de poisson : poisson chat ‘Clarias gariepinus’ et la carpe royale ‘Cyprinus carpio’ avec l’induction de la ponte en utilisant la GnRH. A cet effet, nous avons conduit cette étude au niveau d’une ferme aquacole à Khemis Meliana (Ain Defla). Dans notre travail, on a utilisé six géniteurs de carpe royale dont 4 femelles et 2 mâles, et cinq géniteurs de poisson chat africain, 3 femelles et 2 mâles. Les géniteurs de carpe ont été amenés du barrage de Ghrib à Ain Defla alors que celui de C. gariepinus ont été élevés dans la ferme LARIBI. L’injection hormonale a été effectuée dans le muscle dorsal sous la nageoire. Les doses de GnRH ont été déterminées en fonction du poids de chaque géniteur. La fécondation a été faite artificiellement selon la méthode sèche. Après incubation des œufs, une loupe binoculaire a été utilisée pour vérifier l’état des œufs et le développement des embryons en fonction du temps. Les résultats obtenus montrent que la reproduction artificielle de ces espèces est possible, ainsi que la survie et la croissance des larves. En effet, après injection de GnRH, les femelles de carpe réussissaient à pondre et le protocole a été rompu en milieu à cause du mauvais contrôle de temps de latence. Pour le C. gariepinus, on a noté la réussite de l’ovulation, fécondation et éclosion des larves ainsi que le suivi larvaire. Pour cette espèce, on a enregistré un temps de latence de 22heures avec l’obtention d’environs 35700 larves de clarias. Le taux d’éclosion était de 48%. A la fin de cette expérimentation, nous pouvons conclure qu’il est possible d’améliorer la reproduction en utilisant convenablement les techniques de stimulation hormonale et en améliorant l’alimentation et les facteurs abiotiques qui sont dominants dans l’élevage piscicole.
Description: Bibliogr. f. 23-26
URI/URL: http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2156
Collection(s) :Projets de fin d'étude (PFEs) 2021

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