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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2334
Titre: Étude des principales parasitoses internes zoonotiques, chez le lapin de population locale dans le nord de l'Algérie toxoplasma gondii et cryptosporidium spp.
Auteur(s): Henneb épouse Mokrani, Mina
Aissi, Meriem
Mots-clés: Toxoplasma gondii
Cryptosporidium
Lapin
Séroépidémiologie
Facteurs de risque
PCR (génétique)
Populations
Alger (Algérie;région)
Date de publication: 31-oct-2021
Editeur: École Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: D4.23018.00;
Résumé: Bibliogr. f. 167-218; Annexes 6 f.
Description: La présente étude a été conduite dans le but de déterminer la prévalence et certains facteurs de risque liés à Toxoplasma gondii et Cryptosporidium spp.chez le lapin de population locale ainsi que le potentiel zoonotique associé à ce dernier dans la région Médio-septentrionale d’Algérie, à savoir les wilayates d'Alger, Blida, Bouira, Boumerdes et Tizi Ouzou. Pour la détermination des anticorps anti T. gondii, un total de 350 sérums a été collectéau niveau des abattoirs.Alors que 638 échantillons de crottes de lapins, ainsi que 124 prélèvements des selles des patients immunodéprimés ont été prélevés afin de faire l'objet de détermination de la prévalence de Cryptosporidiose. Les résultats des analyses sérologiques de la Toxoplasmose indiquent une prévalence de 14,57 %. Alors que le test de coloration de ZNM effectué sur les crottes de lapins et les selles humaines ont révélé des prévalences respectives de près de 24 et 7%.Cependant, l'étude des facteurs de risque associés à la Toxoplasmose montre que seulslesfacteurs : âge, type d'habitat, type d'aliment et la cohabitation des lapins avec d'autres espèces sont hautement significatifs (p<0,01). Tandis que pour ceux relatifs à la cryptosporidiose, l'étude révèle que tous les facteurs sont statistiquement hautement significatifs.La caractérisation moléculaire de Cryptosporidium sppchez les lapins révèle la présence de trois espèces :C. cunuculus (54,28%) ; C. parvum (22,85%)et C. murus (2,85%). Cependant, le séquençage du génotype de C. parvum a permis d’identifier le sous- type IIcA5G3, chez les lapereaux en période d'engraissement.
URI/URL: http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2334
Collection(s) :Thèses de Doctorat 2021

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