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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2431
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dc.contributor.authorReghaissia, Nassiba-
dc.contributor.authorBaroudi, Djamel (Dir.)-
dc.date.accessioned2022-09-25T10:22:03Z-
dc.date.available2022-09-25T10:22:03Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttp://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/2431-
dc.descriptionBibliogr. 24 f.; Annexes 28 f.fr_FR
dc.description.abstractLa présente étude visait à estimer la prévalence et la caractérisation moléculaire de Cryptosporidium spp. chez six différentes espèces de poissons des milieux marins et d'eau douce. Au cours d'une période qui s’étale sur deux ans (2018-2020), un total de 415 échantillons fécaux et 565 raclages intestinaux ont été effectués, dans sept wilayatess du centre et de l'est de l'Algérie. Parmi ceux-ci, 860 poissons appartenaient à six espèces de poissons différentes, dont deux sont des poissons marins d'élevage et quatre sont des poissons d'eau douce sauvages. Tous les échantillons ont été testés pour la presence du Cryptosporidium spp. Pour cela, une approche de PCR-nichée a été réalisée pour amplifier des séquences partielles des gènes de la petite sous-unité de l'ARN ribosomique (ARNr 18S) et le géne de la glycoprotéine de 60 kDa (gp60) pour le génotypage et le sous-typage de Cryptosporidium. En effet, l’amplification du géne 18s a été effectuée suite à l’utilisation de deux types des amorces spécifiques au Cryptosporidium spp. Une analyse statistique détaillée a été effectuée pour évaluer la variation de la prévalence de l'infection à Cryptosporidium en fonction de différents facteurs de risque. L'analyse par PCR-nichée du gène 18S a révélé 173 poissons positifs au Cryptosporidium, ce qui donne une prévalence globale de 20,11 % (17,5-23,0). Cryptosporidium spp. a été détecté chez 8,93 % (42/470) des poissons marins d'élevage et 33,58% (131/390) des poissons sauvages d'eau douce. Dans l'ensemble, la prévalence était affectée par tous les facteurs de risque étudiés, à l'exception du sexe. La caractérisation moléculaire et le sous-typage des isolats de Cryptosporidium ont montré la présence des sous-types zoonotiques IIaA16G2R1 et IIaA17G2R1 de C. parvum chez l'espèce de poisson Sparus aurata et le sous-type IIaA13G2R1 de C. parvum chez l’espece Carassius carassius. La présente étude fournit les premières données sur la prévalence et les facteurs de risque associés de Cryptosporidium chez les poissons marins et sauvages d'eau douce d'élevage en Algérie (Afrique du Nord). . Les données moléculaires révèlent la présence de soustypes zoonotiques de C. parvum chez ces poissons.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherÉcole Nationale Supérieure Vétérinairefr_FR
dc.relation.ispartofseriesD4.23021.00;-
dc.subjectSéroépidémiologiefr_FR
dc.subjectFacteurs de risquefr_FR
dc.subjectPoissonfr_FR
dc.subjectCryptosporidiumfr_FR
dc.subjectSyndrome post-poliomyélitiquefr_FR
dc.titlePrévalence et caractérisation moléculaire des infections à cryptosporidium spp. chez les poissons d’élevage dans le centre et l’est de l’Algériefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Thèses de Doctorat 2022

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