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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/326
Titre: Contribution à l'étude de la coccidiose du lapin de population locale au niveau des wilayas de Boumerdes et Tizi Ouzou
Auteur(s): Henneb épse Mokrani, Mina
Aissi, Meriem (Dir.)
Mots-clés: Coccidioses
Espèces d’Eimeria
Lapines;
Lapereaux
Population locale
Conditions d’ambianc
Conduite d’élevage
Date de publication: 16-fév-2012
Editeur: École Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: M4.23 021.00;
Résumé: L’objectif de notre travail était d’étudier l’évolution des coccidioses chez le lapin de population locale (Oryctolagus cuniculus), par les aspects cliniques et lésionnels, le suivi de l’excrétion des oocystes chez les femelles et chez les lapereaux, l’identification des espèces en causes, et l’influence des facteurs prédisposants. Au total, 19 lapines et 69 lapereaux ont été suivis au niveau de quatre élevages situés dans la région de Tizi-Ouzou (n=2) et Boumerdes (n=2) de même profil climatique (subhumide). Des échantillons fécaux ont été prélevés chez les femelles à partir du 13ème jour de gestation et durant toute la période de lactation et chez les lapereaux durant la période de lactation et d’engraissement. Ces prélèvements ont été effectués quotidiennement et individuellement. Les échantillons ont été analysés (dénombrement d’oocystes et identification des espèces), les symptômes cliniques, mortalités et les lésions nécrosiques observés lors d’autopsies des animaux morts ont été enregistrés, ainsi que les prélèvements du foie et intestin pour des examens histologiques. Les résultats de cette étude révèlent une excrétion oocystale chez les lapines plus importante en période de lactation qu’en période de gestation. Chez les lapereaux, le début de l’excrétion oocystale est différent d’un élevage à un autre: élevage (1) le 19ème jour, élevage (3) le 25ème jour et après sevrage pour les élevages (2 et 4). La précocité d’excrétion oocystale dépend des conditions d’ambiances (température et hygrométrie) et de la conduite d’élevage. Sept espèces d’Eimeria ont été identifiées, dont E. stiedae à tropisme hépatique identifié au niveau de l’élevage(1) (29,02%), les espèces d’Eimeria à tropisme intestinale en particulier, E. perforans (8,75%), E. magna (43,1%), E. médias (18,75%), E. exigua (3,12%), E. intestinalis (3,12%), E. coecicola (3,12%). Les infections mixtes étaient très fréquentes, les lapereaux sont porteurs de 2 à 4 espèces. Les lésions macroscopiques et histologiques étaient indicatives de réactions inflammatoires causées par les espèces Eimeria sur le foie et l’intestin
Description: Bibliogr. 17 f.; Annexes 12 f.
URI/URL: http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/326
Collection(s) :Mémoires de Magistère 2012

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