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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/329
Titre: Recherche et prévalence de Cysticercus spp et de Sarcocystis spp chez les ovins et les caprins au niveau de la tuerie de Boufarik
Auteur(s): Taibi, Amina
Aissi, Meriem (Dir.)
Mots-clés: Cysticercus spp
Sarcocystis spp
Ovins
Caprins
Prévalence
Région de Boufarik
Date de publication: 21-jan-2013
Editeur: École Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: M4.23 024.00;
Résumé: Une étude sur 574 carcasses ovines et 947 carcasses caprines inspectées menée de décembre 2010 à Octobre 2011 au niveau de la tuerie de BOUFARIK a pour but la recherche et la prévalence des kystes de Cysticercus spp et de Sarcocystis spp selon les Saisons, Sexe, âge et les espèces (Ovines et Caprines) pour cela trois techniques (observation microscopique, digestion enzymatique et l’histologie) ont été utilisées. Concernant Cysticercus spp, sur 574 carcasses ovines inspectées, une prévalence de 1,39% a été calculée et sur les 947 carcasses caprines inspectées, nous avons notés une prévalence de 3,9%. Nous avons également constaté que la prévalence la plus importante s’observait chez les agneaux au printemps par opposition au caprins qui le seraient d’avantage en automne et chez les individus de réforme. Concernant Sarcocystis spp, sur un total de 1522 échantillons (575 ovins et 947 caprins), 353 se sont révélés positifs soit une prévalence de 23.19%, l’étude comparative des degrés d’infestations chez les ovins et les caprins révèle qu’il existerait une différence significative entre les mâles (5.7 Vs 5.05) et les femelles (42.47 Vs 37.2%) en faveur des ovins, mais que la plus grande prévalence s’observerait chez les deux espèces vers l’âge de 8 ans. Sur la totalité des échantillons positifs à Sarcocystis spp, 74 étaient positifs après digestion enzymatique. De plus, la technique histologique a permis de dévoiler la structure interne des kystes, avec présence de cloisons, de bacilles Gram négatifs et localisation périphérique des bradyzoites. Nous pouvons dire que la région d’où proviennent les animaux est hautement contaminée probablement due à un manque d’hygiène, à la méconnaissance du mode de transmission de ces parasites par la population locale et une cohabitation des HD-HI.
Description: Bibliogr. f. 56-64; Annexes 6 f.
URI/URL: http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/329
Collection(s) :Mémoires de Magistère 2013

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