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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/802
Titre: Synchronisation des chaleurs chez les bovins
Auteur(s): Touhami, Mohamed Yacine
Mechiki, Sofiane
Rouane, Abderrazak
Souames, Samir (Dir.)
Mots-clés: Reproduction bovine : Hormone (protocole)
Reproduction bovine : Hormone (protocole)
Synchronisation des chaleurs : Bovins
Bovins : Oestrus
Date de publication: 2005
Editeur: École Nationale Supérieure Vétérinaire
Collection/Numéro: P4.22031.00;
Résumé: Les traitements de maîtrise des cycles permettent, chez les bovins, de synchroniser les chaleurs et d’inséminer des groupes d’animaux en aveugle, le même jour. Le travail est ainsi simplifié et les périodes de vêlages peuvent être planifiées. L’intérêt de ces traitements est cependant, limité par la variabilité de la fertilité à l’oestrus induit. Une part de cette variabilité est dûe au mécanisme d’action du traitement lui-même. En effet, plusieurs protocoles hormonaux permettent de synchroniser les chaleurs chez les bovins.Les traitements à base de PGF2(alpha) ou de ses analogues (2 injections à 11-14 jours d’intervalle), les traitements associant GnRH et PGF2(alpha) (OVSYNCH®), les traitements à base de progestagènes: PRID®, CIDR®, CRESTAR® (dispositifs libérant de la progestérone ou du norgestomet associé à un oestrogène) et en fin les traitements à base de GnRH pour l'induction des chaleurs chez les vaches non cyclées. Une autre part de cette variabilité, dépend des facteurs liés à l’animal (cyclicité avant traitement, age, parité...) ou à l’environnement (alimentation, méthode de détection des chaleurs, saison...). La connaissance de ces paramètres devrait permettre l'amélioration des résultats des traitements de synchronisation des chaleurs chez les bovins afin d'atteindre l'objectif d'un veaux par vache et par an. A l'issue de l'enquête, il ressort que la synchronisation est beaucoup plus pratiquée chez les vaches multipares de race mixte conduites en stabulation semi entravée. Quant à la démarche diagnostique des différents troubles de la reproduction, les praticiens se basent essentiellement sur l'anamnèse et l'exploration rectale. Pour la démarche thérapeutique les vétérinaires s'appuient d'une manière irréfutable sur l'utilisation des progestagènes et les analogues de PGF2.
Description: Bibliogr. p. 127-146
URI/URL: http://archive.ensv.dz:8080/jspui/handle/123456789/802
Collection(s) :Projets de fin d'étude (PFEs) 2005

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